“En 2015, j’avais
un grand besoin d’appui pour m’occuper de mes enfants. J’avais été malade et
j’étais restée à la maison avec eux pendant 6 ans. Je cherchais un soutien et j’avais
visité sept places différentes sans succès. Finalement, on m’a dirigé vers le
Centre de ressources communautaires de la Basse-Ville où je me suis trouvé
devant Marie-Christine à la réception. Après
avoir écouté mon histoire, elle m’a dit « Tu es venue à la bonne place, nous
pouvons te donner un coup de main.»
Steve,
[gestionnaire de programmes jeunesse) a communiqué avec moi et nous avons pris
rendez-vous avec les enfants. Steve m’a dit , «repose-toi, prends une pause ».
J’ai pu inscrire mes gars au camp d’été sur le champ et je suis partie à la
recherché d’un emploi. À la dernière place, on m’a offert un emploi ! J’ai
commencé à y travailler le jour-même et j’y travaille encore!
Le Centre m’a
redonné ma vie! Il m’a permis de me tenir debout. Le personnel m’a accompagné lors de
réunions scolaires pour s’assurer que mes enfants aient accès à un soutien à
leur école. On a suivi mon problème aux yeux pour faire de sorte que j’obtienne
les lunettes dont j’avais besoin.
Quand je vois que
mes enfants sont heureux, ça me donne des ailes! Je ne fais plus de dépression.
Ma vision est claire. Je peux travailler. Je me sens confiante. Je me sens en
sécurité. Et je dois tout ça au CRCBV. Le Centre continue à m’appuyer jusqu’à
ce jour. Je suis un arbre fort avec de multiples branches!»
- Ethiopia Bogale, résidente de la Basse-Ville depuis 1999 et mère
célibataire de 2 garçons énergiques
Notre raison d’être au CRCBV c’est d’appuyer des résidentes comme
Ethiopia et leurs familles. Bien qu’il y ait des centaines d’autres histoires
de réussite que nous pourrions vous raconteur, il y a , malheureusement, les
besoins de plusieurs des résidents de la Basse-Ville sont criants. Notre
financement régulier couvre nos dépenses programmatiques mais il ne nous permet
pas d’offrir à nos résidents des items de base comme la nourriture, des sacs d’école, des paniers de Noël, des billets
d’autobus, du lait et de la viande pour les clients de notre banque
alimentaire, des couches pour bébés, et à organiser des cuisines collectives
pour des familles en motel-refuge. Pour ce faire, nous dépendons donc de notre campagne de financement pour
renflouer notre Fonds d’urgence. L’année dernière, nous avons reçu 19 050 $ en dons nous per mettant de venir en
aide à plus de 300 ménages en 2018.
Pour que nous puissions continuer à appuyer des personnes comme Ethiopia
et ses fils, nous vous de- manderions de contribuer à notre fonds d’urgence.
Notre campagne de financement 2018-19 se terminera le 4 janvier, mais nous
acceptons des dons en tout temps. Nous
comptons sur votre généreuse contribution.
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